Disait Pina Bausch
Avait-elle raison ? Pour quelques personnes cet échappatoire, cette catharsis est indispensable.
Je n’ai jamais réfléchi à la danse, je la vis.
Disait Pina Bausch
Avait-elle raison ? Pour quelques personnes cet échappatoire, cette catharsis est indispensable.
Je n’ai jamais réfléchi à la danse, je la vis.
Mon premier amour. Cette aventure qui a guidé toute ma vie, et aujourd’hui encore elle est un élément clef de mon équilibre.
Tout a commencé dans un conservatoire, et puis la suite a été en école classique. Examen d’Aptitude Technique en poche, cette porte indispensable franchie pour la formation de professeur de danse a été un tremplin. Vers autre chose.
J’ai travaillé avec des compagnies néo-classiques avant une blessure due travail intensif des pointes. Ca a été une magnifique opportunité, un tremplin vers la danse contemporaine.
Et vers Thierry Verger, le chorégraphe qui a su m’amener vers ma propre danse au travers de son langage chorégraphique. Et m’amener jusqu’au bout du monde afin d’y danser sa technique Modal.
Une douce pensée à Cécile Tigoulet qui a joué ce morceau inattendu en savasana sur un piano désaccordé. Une autre pour mon premier maître de yoga, Isabelle de Saint Jores pour m’avoir rappelée l’importance d’être en accord avec sa vie, une vie pleine d’art.